8 décembre 2010
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La durée d’éblouissement émerveillé, de surprise enchantée, de passion troublante et de jouissance inédite est courte, on le sait. On dit moins qu’elle est probablement proportionnelle à la durée globale moyenne d’une vie ou d’une histoire.
Il est alors certain qu’aucun chronomètre n’a encore la précision requise pour mesurer la durée de l’orgasme du bombyx du mûrier dont la longévité n’excède guère 48 heures.
On a peu d’informations sur le cas de la palourde, et c’est bien regrettable. On peut néanmoins conjecturer une belle aptitude à séjourner dans la jouissance quand on sait que le bivalve peut vivre 300 à 400 ans !